Ces appels d’offres mettent en concurrence tous les projets métropolitains quelle que soit leur situation géographique. La probabilité d’être lauréat dépend alors de la superficie à couvrir afin de réduire les charges fixes (clôture, raccordement, exploitation, …), de la nature du sol (sites dits « dégradés ») et d’un investissement public et citoyen (de façon à bénéficier d’un bonus « participatif »).
Sur la base d’un retour d’expérience, le SIEGE s’est momentanément concentré, en phase développement, sur des surfaces supérieures à 10 hectares.
La collectivité qui souhaite développer un projet photovoltaïque au sol sur un site dégradé peut ainsi demander au SIEGE de coordonner le projet.
Exemple de projets en cours/réalisés :
Deux centrales photovoltaïques sont à l’étude sur des centres d’enfouissement technique :
- à Malleville sur le Bec : sur le site du CETRAVAL (SDOMODE) pour une dizaine d’hectares et un potentiel de puissance de l’ordre de 3 MWc. Les études sont en cours (technico-économiques, environnementales, …) et la demande de permis de construire devrait être déposée au deuxième semestre 2019 ;
- à Mercey et La Chapelle Longueville : sur le site de l’ECOPARC (SETOM) où une dizaine d’hectares est également disponible.